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Main basse sur la mémoire, les pièges de la loi Gayssot

Clap36 a jugé important de revenir sur la mère de toutes les censures actuelles -la loi Gayssot- véritable instrument de régulation du droit d’expression et de la liberté de penser.
C’est pourquoi nous vous proposons en libre visionnage « Main basse sur la mémoire, les pièges de la loi Gayssot » de Béatrice Pignède.
 
 
 
 
 
 
 
Synopsis
 
Vingt ans après l’adoption de la loi Gayssot, de nombreux historiens, philosophes, hommes politiques de tous bords, dénoncent les dérives qu’elle a engendrées. La « mère de toutes les lois mémorielles », votée en 1990, pénalise la contestation de l’existence des crimes contre l’humanité, tels que définis par le Tribunal de Nuremberg. Présentée à l’époque comme un rempart contre l’antisémitisme, son bilan est pourtant aujourd’hui désastreux : atteintes aux libertés, concurrence génocidaire, surenchère victimaire, renouveaux identitaires et racistes, gigantesques détournements financiers. Au plan international, le verrou idéologique institutionnalisé par la loi Gayssot participe également à justifier les guerres coloniales de ces dernières années et à couvrir la politique d’Israël d’une caution inoxydable.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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A
<br /> Voir, revoir, réétudier, critiquer des faits historiques à la lumière de nouvelles infos, techniques, devrait être en soi un réflexe de santé mentale.<br /> Empêcher de chercheurs de réétudier voire de critiquer des faits passés si terribles soient-ils est une aberration.<br /> Sans compter l’eau au moulin qu’on apporte à ceux qui vous diront comme le font Faurrisson on Raynouard:<br /> -allez-y, ridiculisez-nous lors de procès mémoriaux! que craignez-vous de nous, nous sommes si peu face à vous tous!<br /> D’ailleurs, l’argument se tient.<br /> Si la loi Gayssot était passée juste après Nuremberg nous ne saurions rien des massacres de Katine ou plutôt nous serions persuadés que ce sont les allemands qui ont commis le forfait.<br />
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