Le journal Libération

 

 

 

 

 

 

Très mauvais quotidien, baclé par de de très mauvais journalistes qui n'ont de leur fonction que le nom et un  directeur de publication légèrement pire que lamentale: exécrable. 

 

Pour ne prendre que cet exemple, leur couverture du Moyen Orient, consiste à diffuser les communiqués du gouvernement israélien et ceux de l'armée israélienne, ainsi que bien évidemment, ceux de leurs supplétifs respectifs. Ces derniers sont aussi nombreux qu'interchangeables:  approximations grotesques, mensonges éhontés, mauvaise foi pathologique. 

 

Bref, les propagandistes sionistes qui sévissent dans ce torchon sale, ont appris leur métier entre Goebbels et la rue Saint Denis.

 

 

 

On peut lire: Journalisme en tenue de camouflage : un reportage de Libération au nord d’Israël un exemple, très bien analysé, de la propagande diffusée par ces fanatiques sionistes.

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R
<br /> La bonne nouvelle du jour<br /> <br /> <br /> Selon les déclarations des éditeurs déposées auprès de l’OJD, Libération connait de grosses difficultés.<br /> <br /> <br /> Après la polémique suite à sa une racoleuse basée sur une rumeur ainsi que le conflit interne qui le gangrène, le quotidien voit désormais ses ventes chuter. Sa diffusion payée a<br /> chuté de près de 11 % en février, et ses ventes en kiosques de 23,5 %. Une baisse qui vient confirmer celle de janvier (- 10,6 % sur l’ensemble de la diffusion). « La<br /> baisse est d’autant plus significative que les ventes de février 2012 n’avaient pas spécialement bénéficié d’un effet campagne électorale », ajoute Patrick Bartement, directeur général<br /> de l’OJD. Selon Le Figaro, le<br /> Libération de Nicolas Demorand est quasiment devenu « la lanterne rouge du marché ».<br /> <br /> <br /> Aujourd’hui en France et Le Parisien suivent le même chemin avec 10,4 % et 7,8 % de baisse. De son côté, profitant de l’actualité papale, La Croix a vu ses<br /> ventes en kiosque bondir de 17,5 %.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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